Fire and Fury: Inside the Trump Whit

 Fire and Fury: Inside the Trump Whit   

Pleurs, trahisons et brosse à dents… ce que nous apprend le livre sur Trump et ses proches   

Pleurs, trahisons et brosse à dents ... ce que nous apprend le livre sur Trump et ses proches proches

Le livre de Michael Wolff, «Le feu et la fureur: à l'intérieur de la Maison Blanche de l'Atout», dont la compilation a été approfondie le vendredi 5 janvier, est une compilation hétéroclite d'anecdotes pas toujours anodines.

Steve Bannon, alors conseiller de Donald Trump, lors d'une réunion à la Maison Blanche, le 13 Mars 2017.

Qu'y at-il de si explosif dans le livre de Michael Wolff pour, quelques heures après la publication de ses bonnes feuilles dans le New York Magazine, l'ouvrage, dont la publication a été avancée au vendredi 5 janvier, ait déjà en tête des précommandes chez tous les vendeurs américains?

Compilation hétéroclite d'anecdotes récoltées au cours de deux cents conversations avec l'entourage du 45e président américain, Feu et fureur: à l'intérieur de la Maison Blanche de Trump (éditions Henry Holt) brosse le portrait d'une Maison Blanche qui bruisse de rivalités, d'obsessions, de fantasmes et d'angoisses.

Tour d'horizon de dix choses - parfois anodines, mais pas toujours - apprises à la lecture de ces premiers extraits.

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Bannon considère Trump Jr comme un «traître»

L'ancien conseiller spécial du président vs le fils du président. C'est assurément le duel fratricide qui agite le plus les médias américains au lendemain de la publication des extraits. Dans le livre, Steve Bannon, le sulfureux rédacteur en chef du site ultraconservateur Breitbart News, Donald Trump Jr s'est rendu coupable de «trahison» en organisant, le 9 juin 2016, à la Trump Tower de New York, une réunion Jared Kushner et le directeur de campagne du candidat républicain, Paul Manafort.

M. Bannon, considéré comme l'éminence grise de la campagne de Donald Trump, dit:

«Ces trois mecs responsables de la campagne ont été une bonne idée de rencontrer un gouvernement étranger dans le même tour de la tour Trump, dans la salle de réunion du 25e étage - sans la présence d'avocats. Ils ont pas d'avocats. Même si vous pensez que ça ne constitue pas une trahison, quelque chose d'antipatriotique, ou une idée de franchisage de m ***, et moi je pense que c'était tout un coup, vous auriez dû immédiatement appeler le FBI . »

Et l'ancien de Goldman Sachs, devenu pourfendeur des élites, d'enfoncer le clou en disant:

«La chance que Don Jr a fait passer ces résidences au bureau de son père est égal à zéro. »

Pour Steve Bannon, aucun doute, le procureur spécial chargé d'éclairer les relations troubles de la campagne de Donald Trump et le Kremlin va «faire craquer Don Jr comme un œuf en plein écran télévisé».

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Quelques heures après la publication de cet extrait, les avocats de M. Trump ont fait part de leur intention de porter plainte contre M. Bannon, l'accusant d'avoir enfreint l'accord de la confidentialité qui a été à la Maison Blanche et d 'avoir diffamé le président.

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Donald Trump, conseiller de Michael Flynn et son premier conseiller spécial, Steve Bannon, le 28 janvier 2017.

Trump était persuadé de perdre

Donald Trump avait prévu son retour à la vie civile après sa mort.

«Une fois qu'il aurait perdu, Trump serait devenu à la fois extrêmement célèbre et l'éternel martyr de cette véreuse Hillary. Sa fille Ivanka et son fils Jared des célébrités internationales. Steve Bannon serait devenu le dirigeant du Tea Party. Kellyanne Conway serait une star de la télévision. Melania Trump, à qui était assuré que son mari ne deviendrait jamais président, pourrait retourner à ses discrets déjeuners. Perdre rendrait tout le monde heureux. Perdre, c'était gagner. »

Michael Flynn a été trouvé à la décision de Trump d'accepter 45 000 dollars (37 000 euros) pour intervenir dans une conférence en Russie. «Ça ne serait pas un problème que s'il gagnait», avait-il alors commenté.

Melania et Donald Trump, le 31 décembre 2017, à Palm Beach (Floride).

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